Bis repetita : il a 20 ans déjà, ceux qui prétendaient nous administrer faisaient du casier judiciaire un argument de campagne en convoquant leur virginité, en dénonçant les candidats « certifiés coupables » ou en faisant de l’absence de condamnation pénale et/ou de contrôle fiscal une condition préalable pour se présenter aux suffrages
Dans le journal Libération du 9 juin 1995, Me Yves Claisse dénonçait cette « honorabilité de campagne qui fragilisera ceux qui s’en sont parés« .
« Les instigateurs de ce type de candidatures au-dessus de tout soupçon laissent entendre que la vertu des hommes est aussi importante que celle de leurs engagements. Ce qui est nécessaire devient alors suffisant »
Alors…. Ni passé ni avenir judiciaire. Un programme !