La juridiction prud’homale a reconnu l’existence d’une co-responsabilité de la salariée dont le contrat d’avenir a été rompu mais a estimé que les faits reprochés ne relevaient pas d’une faute grave en raison :
- de l’écart entre les faits reprochés durant la nuit et le passage effectif de l’équipe de jour ayant témoigné bien postérieurement
- des actions de formation et d’accompagnement qui doivent être mises en oeuvre au profit du salarié sous contrat d’avenir
- du suivi de la salariée faisant apparaître la satisfaction régulière de ses tuteurs